From 48c3acb05eb0f95f6eba792ce099c00f08c1d122 Mon Sep 17 00:00:00 2001 From: =?utf8?q?Th=C3=A9r=C3=A8se=20Godefroy?= Date: Thu, 17 Jul 2014 00:07:25 +0200 Subject: [PATCH] fr: another method to regenerate the pages. A single template is used for the 3 main pages. Includes are used for head, translist, footer and jacascript only. --- fr/kitchen/assemble-all-pages | 106 +++-- fr/kitchen/assemble-page | 50 -- fr/kitchen/common-sections.html | 611 ------------------------- fr/kitchen/fsf-intro.html | 23 - fr/kitchen/include-list | 7 - fr/kitchen/index.t.html | 782 +++++++++++++++++++++++++++++++- fr/kitchen/mac.t.html | 149 ------ fr/kitchen/step-1a.html | 46 -- fr/kitchen/translist.html | 1 - fr/kitchen/windows.t.html | 149 ------ 10 files changed, 841 insertions(+), 1083 deletions(-) delete mode 100755 fr/kitchen/assemble-page delete mode 100644 fr/kitchen/common-sections.html delete mode 100644 fr/kitchen/fsf-intro.html delete mode 100644 fr/kitchen/include-list delete mode 100644 fr/kitchen/mac.t.html delete mode 100644 fr/kitchen/step-1a.html delete mode 100644 fr/kitchen/windows.t.html diff --git a/fr/kitchen/assemble-all-pages b/fr/kitchen/assemble-all-pages index 4e8859f9..3be163a0 100755 --- a/fr/kitchen/assemble-all-pages +++ b/fr/kitchen/assemble-all-pages @@ -1,34 +1,57 @@ #!/bin/bash -# assemble-all-pages: includes the constant parts into all the HTML -# templates in the working directory. +# "assemble-all-pages" inserts the constant parts into all the HTML +# templates in the working directory and creates the OS-specific pages by +# removing the irrelevant text from a common file which contains all the +# OS-variable parts. -# The name of a page is NAME.html and the name of the template is -# NAME.t.html. The inclusion markers in the template are similar to -# SSI directives, but for the "#". +# The page is NAME.html and the template is NAME.t.html. The template has +# inclusion markers (similar to SSI directives, except for the "#") to +# indicate where the constant parts are to be inserted, and deletion +# markers to identify the borders of each deletion and indicate which +# page(s) the text in between belongs to. -# The script is in the same directory as all the pieces. It can be -# launched by double-clicking on it provided the path to the working -# directory is set at the first line. +# All the ingredients are is in enc/[lang]/kitchen/: -# ===================================================================== +# Script: assemble-all-pages -wdir=~/GNU/enc/fr/kitchen +# Templates: confirmation.t.html +# index.t.html +# infographic.t.html +# next_steps.t.html + +# Includes: footer.html +# head1.html +# head2.html +# javascript.html +# translist.html + +# To regenerate the pages in enc/[lang]/: +# - In the terminal, cd to enc/[lang]/kitchen/ and enter: +# $ ./assemble-all-pages +# - In the file browser, display this directory (not its parent) and +#  double-click on the script. + +# And if anything goes wrong, you can do a git reset, right? ;-) + +# ========================================================================== set -e -cd $wdir # Create temporary files. before=$(mktemp -t h2p.XXXXXX) || exit 1 after=$(mktemp -t h2p.XXXXXX) || exit 1 -trap 'rm -f "$before" "$after"' EXIT +templates=$(mktemp -t h2p.XXXXXX) || exit 1 +list=$(mktemp -t h2p.XXXXXX) || exit 1 # includes, then deletion markers +deletions=$(mktemp -t h2p.XXXXXX) || exit 1 +trap 'rm -f "$before" "$after" "$templates" "$list" "$deletions"' EXIT # List all the templates in the working directory. -if ! ls *.t.html > template-list ; then +if ! ls *.t.html > $templates 2>/dev/null; then echo "There is no template in this directory." && exit 1 fi -# Process each template of the list. +# Process each template in the list. while read template; do page=${template/.t/} @@ -36,37 +59,46 @@ while read template; do # Make sure there is a blank line before the first include, otherwise # it will not be added properly. - cp $template $page && sed -i '1i\\n' $page + cp $template ../$page && sed -i '1i\\n' ../$page # List the includes. - grep '/,//d' $page - elif [ "$page" == "index.html" ]; then - sed -i '/DELETION -->/d' $page + sed -i "/^/,//d' $1 -elif [ "$1" == "index" ]; then - sed -i '/DELETION -->/d' $1 -fi - -# Delete extra blank lines at the end. -sed -i ':a /^\n*$/ {$d; N; ba}' ../$1.html diff --git a/fr/kitchen/common-sections.html b/fr/kitchen/common-sections.html deleted file mode 100644 index 30b32489..00000000 --- a/fr/kitchen/common-sections.html +++ /dev/null @@ -1,611 +0,0 @@ - -
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#2 Fabriquez vos clefs

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Pour utiliser le système GnuPG, vous allez avoir besoin d'une clef publique et d'une -clef privée (l'ensemble des deux est appelé « paire de clefs Â»). Chacune -d'elles est une longue suite de chiffres et de lettres, générés aléatoirement, qui -vous est propre. Vos clefs publique et privée sont liées entre elles par une fonction -mathématique spécifique.

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Votre clef publique n'est pas comme une clef physique, car elle est stockée dans un -répertoire en ligne ouvert à tous, appelé « serveur de clefs Â». Les gens -téléchargent et utilisent votre clef publique, au travers de GnuPG, pour chiffrer les -courriels qu'ils vous envoient. Vous pouvez vous représenter le serveur de clefs comme -un annuaire, où les gens qui souhaitent vous envoyer un courriel chiffré vont chercher -votre clef publique.

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Votre clef privée se rapproche plus d'une clef physique, parce que vous la conservez -personnellement (sur votre ordinateur). Vous utilisez GnuPG et votre clef privée pour -décoder les courriels chiffrés que les autres personnes vous envoient.

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Étape 2.a Créez une paire de clefs

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Dans le menu de votre logiciel de messagerie, selectionnez « OpenPGP → -Assistant de configuration Â». Vous n’avez pas besoin de lire le texte dans -la fenêtre pop-up à moins que vous ne le souhaitiez, mais c’est une bonne idée de -lire ce qui apparaît dans les fenêtres suivantes.

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Si vous avez plusieurs adresses de courriel, vous aurez à choisir dans -une deuxième fenêtre à quelle(s) « identité(s) Â», c'est-à-dire à quelle(s) -adresse(s), la configuration d'OpenPGP doit s'appliquer.

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Dans la fenêtre suivante, intitulée « Signature Â», sélectionnez -« Non, je préfère créer des règles par destinataire pour les messages devant -être signés. Â»

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Utilisez les options par défaut (répondez « Non, merci Â» à la -question « Désirez-vous modifier quelques paramètres par défaut... Â») -jusqu’à ce qu'apparaisse la fenêtre intitulée « Création d'une clef pour -signer et chiffrer mes messages Â».

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Dans la fenêtre intitulée « Création d'une clef Â», choisissez -une phrase secrète solide. Elle doit contenir au moins 12 caractères, avec au moins -une lettre minuscule, une majuscule et un chiffre ou caractère non conventionnel (symbole -de ponctuation, par exemple). N’oubliez pas cette phrase secrète, ou tout ceci n’aura -servi à rien !

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Le programme prendra un peu de temps pour terminer l’étape suivante, -la création de la clef proprement dite. Pendant que vous attendez, faites quelque chose -avec votre ordinateur, comme regarder un film ou naviguer sur le web. Plus vous utilisez -votre ordinateur pendant ce temps, plus vite ira la création de la clef.

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Quand la fenêtre de confirmation d'OpenPGP apparaîtra, sélectionnez -« Générer le certificat Â» et choisissez de le sauvegarder en lieu -sûr dans votre ordinateur (nous vous recommandons de créer un dossier « certificat -de révocation Â» et de l'y mettre. Vous en apprendrez davantage sur le certificat de -révocation dans la section 5). L’assistant de configuration vous demandera ensuite -de le stocker sur un support externe, mais ce n’est pas nécessaire pour le moment.

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Résolution de problèmes

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Je ne trouve pas le menu d'OpenPGP.
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Dans beaucoup de logiciels de messagerie récents, le menu principal est -représenté par trois barres horizontales. OpenPGP peut être dans la section appelée -« Outils Â».
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L'assistant d'installation ne trouve pas GnuPG.
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Ouvrez votre programme d'installation de logiciel (logithèque) préféré et cherchez -GnuPG, puis installez-le. Enfin relancez l'assistant en allant dans « OpenPGP -→ Assistant de configuration Â».
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Étape 2.b Envoyez votre clef publique sur un serveur de clefs

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Dans le menu de votre programme de messagerie, sélectionnez « OpenPGP → -Gestion de clefs Â».

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Faites un clic droit sur votre clef et sélectionnez « Envoyer les clefs -publiques vers un serveur de clefs Â». Utilisez le serveur proposé par défaut.

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À partir de maintenant, si quelqu’un souhaite vous envoyer un message -chiffré, il peut télécharger votre clef publique depuis Internet. Dans le menu, il y -a le choix entre plusieurs serveurs où envoyer votre clef, mais ce sont des copies l'un -de l'autre, donc vous pouvez utiliser n'importe lequel. Cependant, il leur faut parfois -quelques heures pour s'aligner l'un sur l'autre quand une nouvelle clef est envoyée.

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Résolution de problèmes

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La barre de progression n'en finit pas
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Fermez la fenêtre d'envoi vers le serveur, assurez-vous d’être sur Internet -et réessayez. Si cela ne marche pas, réessayez en sélectionnant un serveur de clefs -différent.
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Ma clef n’apparaît pas dans la liste.
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Essayez de cocher « Montrer les clefs par défaut Â».
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GnuPG, OpenPGP, c'est quoi tout ça ?

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Vous utilisez un programme appelé GnuPG, mais le menu correspondant dans votre programme -de courriel s'appelle OpenPGP. Ça vous embrouille, n'est-ce pas ? En général, les -termes GnuPG, GPG, GNU Privacy Guard, OpenPGP et PGP sont interchangeables, bien qu'ils -aient des significations un peu différentes.

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#3 Faites un essai !

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Maintenant vous allez essayer de faire un test : correspondre avec un programme -nommé Edward qui sait comment utiliser le chiffrement. Sauf indication contraire, ces -étapes sont les mêmes que lorsque vous correspondrez avec un personne vivante.

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Étape 3.a Envoyez votre clef publique à Edward

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C’est une étape un peu particulière que vous n’aurez pas à faire quand vous -correspondrez avec de vraies personnes. Dans le menu de votre logiciel de messagerie, allez à -« OpenPGP → Gestion de clefs Â». Vous devriez voir votre clef dans -la liste qui apparaît. Faites un clic droit dessus et sélectionnez « Envoyer des -clefs publiques par courrier électronique Â». Cela créera un nouveau brouillon de -message, comme si vous aviez juste cliqué sur le bouton « Ã‰crire Â».

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Remplissez le champ d’adresse du destinataire avec l’adresse -edward-fr@fsf.org. Mettez au moins un mot (ce que vous souhaitez) dans le sujet -et le corps du message, puis cliquez sur « Envoyer Â».

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Cela peut prendre deux ou trois minutes à Edward pour -répondre. Entre-temps, vous pourriez aller voir la section de ce guide intitulée « Les bonnes pratiques Â». Une fois qu’Edward a répondu, allez -à l’étape suivante. Désormais, vous aurez simplement à faire la même chose lorsque -vous correspondrez avec une vraie personne.

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Étape 3.b Envoyez un courriel de test chiffré

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Écrivez un nouveau courriel dans votre logiciel de messagerie, adressé à -edward-fr@fsf.org. Écrivez « Test de chiffrement Â» ou quelque chose -d’approchant dans le champ de sujet, et mettez quelque chose dans le corps du message. Mais -ne l’envoyez pas tout de suite.

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Cliquez sur l’icône de la clef en bas à droite de la fenêtre de rédaction (elle -devrait prendre une couleur jaune). Cela indique à Enigmail de chiffrer le message.

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À côté de la clef, vous remarquerez l'icône d'un crayon. En cliquant -dessus, vous dites à Enigmail d'ajouter à votre message une signature spéciale, unique, -générée avec votre clef privée. C'est une autre fonctionnalité de chiffrement, dont -vous n'avez pas à vous servir ici.

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Cliquez sur « Envoyer Â». Enigmail fera apparaître une fenêtre -indiquant « Le destinataire est invalide, n'est pas de confiance ou n'a pas -été trouvé. Â»

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Pour envoyer un courriel chiffré à Edward, vous aurez besoin de sa clef publique, -donc vous devez maintenant la faire télécharger par Enigmail depuis un serveur de -clefs. Cliquez sur « Télécharger les clefs manquantes Â» et utilisez -le serveur par défaut dans la fenêtre qui vous demande de choisir un serveur. Une fois -les clefs trouvées, vérifiez la première (son identifiant commence par C), puis cliquez -sur « OK Â». Cliquez sur « OK Â» dans la fenêtre -suivante.

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Maintenant que vous êtes de retour à la fenêtre « Le destinataire est -invalide, n'est pas de confiance ou n'a pas été trouvé Â», sélectionnez la clef -d’Edward dans la liste et cliquez sur « OK Â». Si le message n’est -pas envoyé automatiquement, vous pouvez cliquer sur « Envoyer Â».

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Résolution de problèmes

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Enigmail ne trouve pas la clef d'Edward.
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Fermez les fenêtres qui sont apparues quand vous avez cliqué. Assurez-vous que vous -êtes connecté à Internet et réessayez. Si cela ne marche pas, répétez le processus -en choisissant un serveur de clefs différent quand il vous demande d'en choisir un.
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Important : Conseils pour votre sécurité

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Même si vous chiffrez vos courriels, le sujet n'est pas chiffré, donc ne mettez pas -d'informations sensibles dedans. Les adresses des émetteurs et destinataires ne sont -pas chiffrées non plus, elles peuvent donc être lues par un système espion. Quand vous -enverrez une pièce jointe, Enigmail vous donnera le choix de la chiffrer ou non.

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Prenez l'habitude de cliquer sur icône de la clef dans la fenêtre de rédaction de -courriel avant de commencer à écrire. Autrement, votre programme de -messagerie pourrait sauvegarder un brouillon non chiffré sur le serveur de messagerie, -ce qui l'exposerait aux indiscrets éventuels.

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Étape 3.c Recevez une réponse

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Quand Edward recevra votre courriel, il va utiliser sa clef privée pour le déchiffrer, -puis récupérer votre clef publique sur le serveur de clefs et l'utiliser pour chiffrer -la réponse qu'il va vous adresser.

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Puisque vous avez chiffré ce courriel avec la clef publique d'Edward, la -clef privée d'Edward est nécessaire pour le déchiffrer. Edward est le seul à posséder -cette clef privée, donc personne à part lui – pas même vous â€“ ne peut -le déchiffrer.

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Cela peut prendre deux ou trois minutes à Edward pour vous -répondre. Pendant ce temps, vous pouvez aller plus avant dans ce guide et consulter la -section « Les bonnes pratiques Â».

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Quand vous allez recevoir le courriel d'Edward et l'ouvrir, Enigmail va automatiquement -détecter qu'il est chiffré avec votre clef publique, et il va utiliser votre clef privée -pour le déchiffrer.

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Remarquez la barre qu’Enigmail affiche au-dessus du message, montrant les informations -concernant le statut de la clef d’Edward.

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#4 Découvrez la « toile de confiance Â»

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Le chiffrement de courriel est une technologie puissante, mais il a une faiblesse ; -il requiert un moyen de vérifier que la clef publique d'une personne est effectivement -la sienne. Autrement, il n'y aurait aucun moyen de stopper un attaquant qui créerait une -adresse de courriel avec le nom d'un de vos amis, et des clefs assorties permettant de se -faire passer pour lui. C'est pourquoi les programmeurs de logiciel libre qui ont développé -le chiffrement de courriel ont créé la signature de clef et la toile de confiance.

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Lorsque vous signez la clef de quelqu'un, vous exprimez publiquement votre certitude -qu'elle lui appartient à lui et non à un imposteur. Les gens qui utilisent votre clef -publique peuvent voir le nombre de signatures qu'elle porte. Une fois que vous aurez -utilisé GnuPG pendant assez longtemps, vous devriez disposer de centaines de signatures. La -toile de confiance est une constellation constituée de tous les utilisateurs de GnuPG, -connectés entre eux par des chaînes de confiance exprimées au travers des signatures, -une sorte de toile d'araignée géante. Plus une clef a de signatures, et plus les clefs -de ses signataires possèdent de signatures, plus cette clef sera digne de confiance.

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Les clefs publiques sont généralement identifiées par leur empreinte, une suite de -caractères du genre F357AA1A5B1FA42CFD9FE52A9FF2194CC09A61E8 (pour la clef d'Edward). Pour -voir l'empreinte de votre clef publique et des autres clefs publiques stockées dans votre -ordinateur allez à « OpenPGP → Gestion de clefs Â» dans le menu -de votre programme de messagerie, puis faites un clic droit sur la clef en question et -choisissez « Propriétés de la clef Â». Il est bon de communiquer votre -empreinte de clef en même temps que votre adresse de courriel, pour que les gens puissent -vérifier qu'ils ont la bonne clef publique lorsqu'ils la téléchargent d'un serveur.

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Vous verrez qu'on peut aussi désigner une clef publique par son identifiant -(ID). Il s'agit simplement des 8 derniers caractères de son empreinte (C09A61E8 pour -celle d'Edward). On peut voir l'ID des clefs dans la fenêtre de « Gestion de -clefs Â». C'est un peu comme le prénom d'une personne (un raccourci pratique, -mais qui n'est pas spécifique d'une clef donnée), tandis que l'empreinte identifie la clef -de manière unique sans possibilité de confusion. Si vous n'avez que l'ID, vous pouvez -tout de même rechercher la clef (de même que son empreinte) comme à l'étape 3.b, -mais s'il y a plusieurs options, vous aurez besoin de l'empreinte de clef de la personne -avec laquelle vous communiquez pour vérifier laquelle utiliser.

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Étape 4.a Signez une clef

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Dans le menu de votre logiciel de messagerie, allez à « OpenPGP → -Gestion de clefs Â».

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Faites un clic droit sur la clef publique d'Edward et sélectionnez « Signer -la clef Â» dans le menu contextuel.

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Dans la fenêtre pop-up, choisissez « Je ne souhaite pas répondre Â» -et cliquez sur « OK Â».

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Dans le menu de votre logiciel de messagerie, allez à « OpenPGP → Gestion -de clefs → Serveur de clefs → Rafraîchir toutes les clefs publiques Â» -et cliquez sur « OK Â».

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Vous venez juste de dire « Je crois que la clef publique d'Edward -appartient effectivement à Edward. Â» Cela ne signifie pas grand chose étant donné -qu'Edward n'est pas une personne réelle, mais c'est un bon entraînement.

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Important : vérifiez l'identité des personnes avant de signer leurs -clefs

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Avant de signer la clef d'une personne réelle, assurez-vous systématiquement que cette -clef lui appartient vraiment, et qu'elle est bien qui elle prétend être. Demandez-lui de -vous montrer sa carte d'identité (à moins que vous ne lui fassiez une absolue confiance) -et l'empreinte de sa clef publique – pas l'ID, qui pourrait aussi désigner une -autre clef. Dans Enigmail, répondez honnêtement dans la fenêtre pop-up qui vous demande -« Avec quel soin avez-vous vérifié que la clef que vous vous apprêtez à -signer appartient effectivement à la personne citée ci-dessus ? Â»

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#5 Les bonnes pratiques

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Chaque personne utilise GnuPGP à sa manière, mais il est important de suivre certaines -pratiques de base pour garantir la sécurité de vos courriels. Ne pas les suivre peut -constituer un risque pour la vie privée des personnes avec qui vous communiquez, de même -que pour la vôtre, et peut être dommageable pour la toile de confiance.

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Quand dois-je chiffrer ?

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Plus vous chiffrez de messages, mieux c'est. En effet, si vous ne chiffrez -qu'occasionnellement votre courriel, chaque message chiffré pourrait alerter les systèmes de -surveillance. Si tout votre courriel est chiffré, ou presque, les gens qui vous espionnent -ne sauront pas par où commencer.

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Cela ne signifie pas que chiffrer uniquement certains de vos messages est inutile. C'est -un excellent début et cela complique la surveillance de masse.

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Important : soyez attentif aux clefs non valides

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GnuPG rend le courriel plus sûr, mais il est tout de même important de faire attention -aux clefs non valides, qui pourraient être tombées entre de mauvaises mains. Un message -chiffré avec une clef non valide peut être lu par des programmes de surveillance.

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Dans votre logiciel de messagerie, revenez au second courriel qu'Edward vous a -envoyé. Comme il l'a chiffré avec votre clef publique, il y a un message d'OpenPGP au -début, qui dit généralement « Début contenu chiffré ou signé Â».

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Lorsque vous utilisez GnuPG, prenez l'habitude de jeter un œil à cette barre. Le -programme vous alertera à cet endroit si vous recevez un courriel chiffré avec une clef -dont la confiance n'est pas avérée.

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Sauvegardez votre certificat de révocation en lieu sûr

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Vous vous souvenez de l'étape où vous avez créé vos clefs et enregistré le certificat -de révocation produit par GnuPG ? Il est maintenant temps de copier ce certificat -sur l'équipement de stockage numérique le plus sûr que vous ayez. L'idéal serait un -périphérique flash, disque ou clef USB, ou bien un disque dur stocké dans un endroit -sûr de votre maison.

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Si jamais votre clef privée devait être perdue ou volée, vous auriez besoin de ce -certificat.

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Important : agissez rapidement si quelqu'un s'empare de votre clef -privée

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Si vous perdez votre clef privée ou si quelqu'un s'en empare (par vol ou intrusion dans -votre ordinateur), il est important de la révoquer immédiatement avant que quelqu'un d'autre -ne l'utilise pour lire vos courriels chiffrés. Ce guide ne couvre pas la révocation de clef, -mais vous pouvez suivre les instructions -données sur le site de GnuPG. Une fois la révocation faite, envoyez un message à -chaque personne avec qui vous avez l'habitude d'utiliser votre clef pour vous assurer -qu'elle a été avertie.

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- - - - diff --git a/fr/kitchen/fsf-intro.html b/fr/kitchen/fsf-intro.html deleted file mode 100644 index b406ea37..00000000 --- a/fr/kitchen/fsf-intro.html +++ /dev/null @@ -1,23 +0,0 @@ - -
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Nous défendons les droits des utilisateurs d'ordinateurs et soutenons le développement -de logiciels libres. Résister à la surveillance de masse est très important pour nous.

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Nous voulons traduire ce guide en d'autres langues et en faire une version adaptée -au chiffrement sur mobile. Faites un don pour aider les gens de tous les pays à faire le -premier pas vers la protection de leur vie privée à l'aide de logiciels libres.

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diff --git a/fr/kitchen/include-list b/fr/kitchen/include-list deleted file mode 100644 index 07b2f5ff..00000000 --- a/fr/kitchen/include-list +++ /dev/null @@ -1,7 +0,0 @@ -head1.html -translist.html -fsf-intro.html -step-1a.html -common-sections.html -footer.html -javascript.html diff --git a/fr/kitchen/index.t.html b/fr/kitchen/index.t.html index 28efc92d..d3a72d33 100644 --- a/fr/kitchen/index.t.html +++ b/fr/kitchen/index.t.html @@ -6,15 +6,50 @@

Autodéfense courriel

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Nous défendons les droits des utilisateurs d'ordinateurs et soutenons le développement +de logiciels libres. Résister à la surveillance de masse est très important pour nous.

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Nous voulons traduire ce guide en d'autres langues et en faire une version adaptée +au chiffrement sur mobile. Faites un don pour aider les gens de tous les pays à faire le +premier pas vers la protection de leur vie privée à l'aide de logiciels libres.

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@@ -53,13 +88,14 @@ communications aussi difficile que possible. Au travail !

#1 Rassemblez les outils

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Ce guide repose sur un logiciel qui est sous licence libre ; -il est complètement transparent et n'importe qui peut le copier ou en faire sa -propre version. Cela le rend plus sûr vis-à-vis de la surveillance que les logiciels -privateurs (propriétaires) comme Windows. Apprenez-en plus sur le logiciel libre en -parcourant fsf.org (essentiellement en anglais) -ou, en français, framasoft.net et april.org.

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Ce guide repose sur des logiciels sous licence libre ; +ils sont complètement transparents et n'importe qui peut les copier ou en faire sa +propre version. Cela les rend plus sûrs vis-à-vis de la surveillance que les logiciels +privateurs (propriétaires) comme Windows ou Mac OS. Apprenez-en plus sur le logiciel +libre en parcourant fsf.org (essentiellement en +anglais) ou bien, en français, framasoft.net +et april.org.

La plupart des systèmes d'exploitation GNU/Linux disposent déjà de GnuPG, donc vous n'avez pas à le télécharger. Toutefois, avant de configurer GnuPG, vous aurez besoin @@ -70,14 +106,111 @@ GNU/Linux ont une version libre de Thunderbird, prête à installer. Outre Thund ce guide est applicable à tous les programmes de ce type. Les logiciels de messagerie sont un moyen alternatif d'accéder aux comptes de courriel (comme GMail) auxquels vous accédez habituellement via votre navigateur, mais proposent des fonctionnalités supplémentaires.

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Ce guide repose sur des logiciels sous licence libre ; +ils sont complètement transparents et n'importe qui peut les copier ou en faire sa +propre version. Cela les rend plus sûrs vis-à-vis de la surveillance que les logiciels +privateurs (propriétaires) comme Windows ou Mac OS. Pour défendre votre liberté et vous +protéger contre la surveillance, nous vous recommandons de migrer vers un système +d'exploitation libre comme GNU/Linux. Découvrez le logiciel libre sur fsf.org (essentiellement en anglais) ou bien, en +français, framasoft.net et april.org. + +

Pour commencer, vous aurez besoin d'installer sur votre ordinateur un programme de +courriel (que nous appellerons par la suite « logiciel de messagerie Â» ou +« programme de messagerie Â», sachant qu'il s'agit ici de courriel et non de +messagerie instantanée). Ce guide fonctionne avec les versions libres de Thunderbird, +et avec Thunderbird lui-même. Les logiciels de messagerie sont un moyen alternatif +d'accéder aux comptes de courriel (comme GMail) auxquels vous accédez habituellement +via votre navigateur, mais proposent des fonctionnalités supplémentaires.

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Si vous avez déjà l'un de ces logiciels de messagerie, vous pouvez passer à l'étape 1.b.

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Étape 1.a Configurez votre logiciel de messagerie avec votre compte de courriel +(si ce n'est déjà fait)

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Lancez votre programme de messagerie et suivez les indications de l'assistant pour le +configurer avec votre compte de courriel.

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Résolution de problèmes

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Qu'est-ce qu'un assistant d'installation ?
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Un assistant d'installation est une série de fenêtres pop-up qui aident à faire quelque +chose sur un ordinateur, comme installer un programme. Vous cliquez dans ces fenêtres pour +choisir les options qui vous conviennent ; dans certains cas, l'assistant vous demandera +de saisir un paramètre, par exemple votre adresse de courriel. N'oubliez pas de valider +en cliquant sur « OK Â» quand vous en avez fini avec une fenêtre.
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Mon programme de messagerie ne trouve pas mon compte ou ne télécharge pas mes +courriels.
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Avant de chercher sur le web, nous vous conseillons de commencer par demander à +d'autre personnes qui utilisent le même système de messagerie de vous indiquer les bons +paramètres.
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Étape 1.b Procurez-vous GnuPG en téléchargeant GPGTools

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GPGTools est un logiciel qui inclut GnuPGP. Téléchargez-le, +et installez-le en choisissant les options par défaut. Ensuite, vous pouvez fermer toutes +les fenêtres créées par l'installateur.

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Étape 1.b Procurez-vous GnuPG en téléchargeant GPG4Win

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GPG4Win est un logiciel qui inclut GnuPGP. Téléchargez-le, et installez-le +en choisissant les options par défaut. Ensuite, vous pouvez fermer toutes les fenêtres +créées par l'installateur.

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